Réactions > Fort Boyard 2021 - Bilan général de la 32e saison

Points positifs :
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Points négatifs :
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• la philosophie de l'émission trop accès vers le grotesque pipi-caca enfantin, ou cherchant à humilier ou à faire rire de l'humiliation
  
  
• Les déguisements et gags (IDENTIQUES A CHAQUE EMISSION) de Passe Muraille
  
  
• le manque de naturel des réactions d'Olivier
  
  
• Les commentaires d'Olivier rajoutés en post-prod (coucou le Metro)
  
  
• les rajouts en post-prod de commentaires
  
  
• les mêmes phrases à chaque émissions sont aucune variation d'un iota.
  
  
• le montage épileptique : c'est-à-dire le changement d'image toutes les 1 sec. (ça c'est un peu arrangé sur le rodéo-dino)
  
  
• les épreuves : trop peu d'épreuves en cellules par émission; 
  
  
• on voit toujours les mêmes; des "nouvelles" épreuves (overdose du Monde à l'envers.
  
  
• Trop de place consacrée aux parties intermédiaires dispensables (willymaton, libération/dégustation) 
  
  
• Trop d'épreuves avec des personnages parlants
  
  
• Ras le bol de Cyril Gossbo
  
  
• On ne voit plus la fosse. 
  
  
• on ne voit plus les extérieurs du fort.
  
  
• on ne voit plus les vrais murs du fort
  
  
• on ne stimule plus l'imaginaire des enfants
  
  
• le montage : la durée visible à l'écran est trop dérisoire par rapport au temps réel (même si ça s'améliore sensiblement)
  
  
• Peu plan réel sur les clepsydres (et les doutes sur la durée réelle)
  
  
• La création artificielle de prisonniers pour avoir Willy à tous les coups.
  
  
• Les clepsydres rouges dont ne soulignent pas la dangerosité
  
  
• Trop de cinématiques en quantité par émission, trop de cinématiques longues. 
  
  
• Sur une émission, combien de min sont réellement en "direct" ? (moins de la majorité, entre les cinématiques, les plans de coupe de post-prod…)
  
  
• Pourquoi utiliser des plans préenregistrés pour Big Boo sonnant le gong? 
  
  
• Pas assez de vraies aventures en extérieur
  
  
• Le changement de statue pour une épreuve : un coup QdC un coup QdI
  
  
• Pas assez d'épreuves de forces, ou de dépassement physique 
  
  
• Pas assez d'épreuves de réflexion
  
  
• Pas assez de stimulation de l'imaginaire des enfants
  
  
• Pas assez de vraies énigmes du Père Fouras
  
  
• Des mot-codes à la difficulté trop variable
  
  
• Quand une équipe est bonne on cherche à lui mettre des batons dans les roues par ne pas obtenir les 8 clés.
  
  
• Le fait d'avoir 8 clés à gagner. 7 c'était le bon chiffre, un chiffre symbolique dans notre culture
  
  
• la présence de la Cage qui ne sert à rien
  
  
• Delphine Wespiser qui n'a toujours pas un jeu d'actrice digne d'apparaitre dans une émission de France 2 en prime (sur la tnt en milieu d'après-midi ça passerait)
  
  
• une balance à Boyard à la tete du client
  
  
• La perte d'une épreuve au Conseil
  
  
• Inviter Nabilla et sa clique. 
  
  
• L'émission n'est plus faite pour les fans ou les gens qui regardent TOUTES les émissions. Si on se tape toutes les émissions, elles se ressemblent globalement toutes
  
  
• Les épreuves qui étaient désagréables les ans derniers sont devenues absolument insupportables (Araignées, Dino…)
  
  

• Comme dans la plupart des saisons depuis 2015, la cinématique d’intro est réussie : cinématographique, avec une belle ambiance boyardesque, digne d’un jeu d’aventure (… mais presque mensongère vis-à-vis du reste de l’émission à ce titre).
  
• L’intégration de la présentation des candidats dans le pré-générique fluidifie le rythme du début de l’émission, c’est un bon point.
  
• Le montage voire la suppression de certaines cinématiques dans les dernières émissions de la saison est un excellent point, qui nous prouve que l’émission bénéficie de l’allègement de ces séquences. 4 ou 5 cinématiques de 30 secondes par émission, ça me semble un maximum à ne pas dépasser.
  
• On pense ce qu’on veut des personnages (j’y reviendrai), mais ils ont globalement été bien mis en avant lors de saynètes ou de petites apparitions fortuites entre les épreuves, un bon point qui rappelle les meilleures années du Fort.
  

• Malgré une réalisation réussie, les autres cinématiques ne m’ont pas convaincu cette année. Il y a du très moyen : celle de Willy (pas mauvaise en soi, mais la plus lassante à mon goût), celle de Rouge (pourquoi le choix d’un passage de Non, je ne regrette rien en instru ?), celle de Blanche (la chanson, une vraie fausse bonne idée, que la production elle-même a fini par ne plus assumer en la supprimant), celle de la Salle du Trésor (je trouve que celle-ci ralentit tout particulièrement le rythme et se concentre plus sur le Père Fouras que sur les enjeux de la SdT). Et il y a du très mauvais : celle de Gary Boo, de Gossbo, de Magik, de Mégagaf sont cheap, mal réalisées, pas drôles et lourdes.
  
• Je n’ai jamais aimé la présence d’images « spoilers » de la saison dans le générique, mais celles de cette année (le pigeon sur la tête de Dave, les ongles de Nabilla) étaient particulièrement insupportables à regarder.
  
• L’introduction d’Olivier, bien que plus variée cette année que certaines saisons, est toujours très mécanique et n’est pas toujours appropriée (avec l’ajout de musiques, d’effets de montage hors sujet comme l’instru de la chanson de Dave).
  
• Toujours pas client de la version actuelle du thème musical des Clés de Fort Boyard.
  
• On a fait le tour des saynètes Père Fouras / Passe-Muraille…
  

• Les personnages « historiques » au sens large (qui répondent à des archétypes de longue date du Fort) sont à leur place et exposés dans une juste mesure : Passe-Partout, Félindra, les Boo, les Maîtres du Temps. J’ajoute Blanche à cette liste, malgré un bémol sur lequel je reviendrai ci-dessous.
  
• Le Père Fouras est toujours bien à sa place en Maître du Fort. Malgré quelques répliques copiées/collées de semaine en semaine (la phrase en latin au-dessus de la porte du Conseil…), Yann Le Gac excelle toujours dans le rôle avec juste ce qu’il faut de personnalité et d’improvisation. Le voir en vigie était agréable, même si l’épreuve n’était pas passionnante.
  
• Bien que j’aie des reproches à faire à son personnage (cf. ci-dessous), la scénarisation de Willy Rovelli est celle qui reste la plus cohérente d’année en année. Chaque saison, son histoire et son restaurant évoluent, et c’est assez bien amené.
  

• Passe-Muraille est toujours aussi insupportable, la faute à une surexposition et à une surenchère de gags et de déguisements qui ne font même pas rire des enfants de cinq et six ans (argument fondé sur le visionnage d’une émission avec mes neveux de cet âge ). Qu’on en finisse et qu’on revienne au personnage de 2011/2012 !
  
• J’ai parfois pu lire ici que Willy était « moins surexposé » cette année… Mouais. On le voit quand même dans chaque jeu audiotel, et dans deux séquences dédiées, soi-disant optionnelles, mais dans les faits, diffusées à (presque) chaque émission par un petit tour de passe-passe de la prod. On a fait le tour tant du personnage que de son épreuve, qui prend beaucoup trop de place dans l’émission. Que Willy soit devenu un personnage « culte » à force de temps, je l’admets, quoiqu’à regret. Mais qu’il soit nécessaire de le faire sortir du jeu, je l’affirme avec conviction ! Ce ne serait pas le premier personnage culte à disparaitre, et l’émission s’en est toujours remise. En l’occurrence, cela apporterait un vent de fraicheur et réduirait la lourdeur de la formule actuelle.
  
• Même remarque, je le crains, pour Delphine dans les rôles de Rouge et Blanche. Outre son costume ridicule cette année dans les deux personnages (la perruque bleue de Blanche ??? Je ne comprends vraiment pas, on dirait qu’elle a été achetée en catastrophe chez Gifi trois jours avant le tournage), ses répliques sonnent toutes faux, la faute à l’oreillette et aux talents d’actrice très limitées de Delphine Wespiser. Rouge n’a toujours été qu’un personnage virtuel, et ses apparitions très mécaniques sur son trône, cette année, n’ont pas réglé le problème, ils l’ont presque empiré. Quant à Blanche, elle est devenue culte, c’est clair, mais j’ai l’impression de voir la même chose depuis dix ans, et elle n’a pas la même profondeur que, par exemple, les Maîtres du Temps.
  
• Gary Boo… J’ai déjà tout dit dans ce sujet.
  
• Magik et Mégagaf : d’un côté, un personnage pas trop dérangeant, mais à l’intérêt limité dans son épreuve, de l’autre, un personnage ultra-volubile, à la cinématique malaisante et à l’épreuve lassante. Tout ça ne me convaincra définitivement pas de l’intérêt des personnages people.
  
• Cyril Gossbo : ce que Fort Boyard a fait de plus abject, tout simplement. Rien de boyardesque, ni dans ses épreuves, ni dans ses cinématiques, ni dans son personnage. Une horreur.
  

• Globalement, une bonne proportion d’épreuves « boyardesques » cette année, et moins de « wtf » et de « lolesque »
  
• Pas mal d’épreuves à prisonniers, et moins l’impression que les clepsydres sont truquées 
  
• Le Métro est une de mes nouveautés préférées de ces dernières années. Une épreuve boyardesque, avec des enjeux, de la tension, du dépassement de soi et du suspense. 
  
• Le Monde à l’envers n’est pas une mauvaise épreuve en soi, malgré une surexposition qui pousse à l’ennui.
  
• Le B.E.E.F a la bonne idée de faire revenir le Père Fouras dans sa vigie…
  

• … Mais le B.E.E.F n’est qu’un réchauffé de la Boyard Academy, qui a réussi à me lasser malgré un faible nombre de diffusions.
  
• Le mélange épreuves/aventures m’agace et me crispe toujours autant.
  
• Le Slaïme (tout comme le Bingossbo) n’a rien à faire dans Fort Boyard, tout comme l’épreuve de Gary Boo (surtout en version « poissons morts »). 
  
• La thématisation à outrance des cellules… Je me permets un petit pavé ici, car c’est un point qui m’insupporte particulièrement. Ce n’est certes pas un problème récent, mais je n’aimais déjà pas la thématisation des cellules en 2011 lorsque c’était encore « parcimonieux », ce n’est donc pas dix ans plus tard, alors que TOUTES les cellules sont peintes dans des couleurs criardes, que je vais me mettre à apprécier ce qui, selon moi, constitue une vraie dénaturation du jeu.  Aujourd’hui, la thématisation des cellules déborde de partout : sur la porte, sur les murs, dans les décors, dans les objets utilisés… Même les mécanismes de libération des clés n’ont plus rien « d’artisanal », tout est activé par la prod à distance, tout fait faux, artificiel, et tout donne le sentiment de sortir tout droit d’un studio parisien. Cette thématisation excessive en vient à me braquer contre certaines épreuves qui, pourtant, sont plutôt intéressantes et boyardesques : le Métro est un bon exemple ; dans une moindre mesure, le Téléphérisque l’est aussi. Ce sont des épreuves qui auraient eu leur place dans le Fort des années 1990-2000, mais dont la thématisation (qui inclut également les pistes sonores qui les accompagnent) nous sort complètement de l’univers du Fort.  Je sais que pour la production — et de l’avis de certains membres du forum — la thématisation des cellules était nécessaire pour moderniser le jeu, mais en ce qui me concerne je n’ai jamais trouvé cet argument recevable. Si je me rends à Disneyland et que l’entrée d’une attraction est décorée d’un simple panneau de signalisation récupéré sur un chantier, je vais trouver que ça n’a pas sa place ici. Si je vais au Puy-du-Fou et qu’au lieu d’un spectacle sur une période de l’histoire, on me montre une comédie musicale sur La Reine des Neiges, je vais trouver que ça n’a pas sa place ici. Et, pour prendre un exemple encore plus parlant, si je regarde Koh Lanta et qu’au lieu de se dérouler dans un décor luxuriant, les épreuves ont lieu en intérieur, dans un studio décoré avec des écrans géants et les Daft Punk en fond sonore, je vais trouver que ça n’a pas sa place ici. Alors, pourquoi en serait-il autrement de Fort Boyard ? Les années 2000 nous ont montré que l’on pouvait avoir des décors plus travaillés que dans les années 1990, tout en restant dans la thématique d’un Fort ancien fait de pierres et de bois, avec des objets qui semblaient avoir été « récupérés sur place » pour thématiser les cellules (et ce n’est pas la section des objets mythiques qui démentira cet argument). Les années 2010 nous ont proposé complètement autre chose : des jeux qui n’ont plus rien de boyardesque dans leur principe, dans leur décor, voire dans les deux à la fois. Même les décors « authentiques » comme l’entrée de la Salle du Trésor, la porte du Jugement, l’entrée du Conseil, font trop artificiels et « carton pâte » en raison d’une accessoirisation excessive. Là encore, les versions précédentes de l’émission avaient compris que « less is more » dans un décor authentique comme Fort Boyard. Le lieu en lui-même dispose d’ores et déjà d’une aura de mystère, d’aventure et de magie ; il faut donc accompagner cette ambiance, mais pas l’exagérer jusqu’à plus soif. Si je regarde Fort Boyard, c’est que j’ai envie de voir un jeu qui se déroule à Fort Boyard — tout comme Koh Lanta se déroule en pleine nature tropicale, tout comme Pékin Express ou La Carte aux Trésors se déroulent dans les pays où sont tournées les émissions. Pourquoi chercher à déguiser le lieu où se déroule le jeu ? En quoi cela profite-t-il au jeu, en quoi était-ce nécessaire à sa modernisation ? Sincèrement, je pense qu’aujourd’hui, il faudrait presque tout raser pour repartir d’une feuille blanche. Je ne pense pas que tout le monde ici partagera mon avis, mais selon moi, il faut signer la fin des portes colorées et le retour des portes grises. Je refuse d’accepter la fatalité que « c’est comme ça et ça ne changera plus, c’était nécessaire pour moderniser l’émission » : l’histoire du jeu nous a prouvé à de nombreuses reprises qu’on pouvait revenir en arrière sur certaines nouveautés sans que le jeu s’en trouve chamboulé. Fin du pavé  
  

• La reconduction de ce que je considère comme la formule la plus adéquate et boyardesque de la Cage : des affrontements contre les Boo, personnages qui ont tout à fait leur place ici, contrairement aux people ou aux Enfants du Fort.
  

• Le principal défaut de la Cage n’a jamais été résolu : son cruel manque d’enjeux. Je copie ici ce que j’avais dit dans un précédent sujet : l’existence même de la Cage ne se justifie pas dans le storytelling et le déroulement du jeu (on interrompt la séquence des clés pour une séquence qui est incarnée par un personnage maléfique, mais dont le rôle est pourtant, au mieux, de distribuer des clés, et au pire, de n’infliger aucune pénalité : à ce titre, Rouge est presque plus gentille que sa sœur. Au moins, en 2015, il y avait le risque de repartir avec une clé de moins). Pire : la séquence n’évolue plus d’un iota depuis quelques saisons. Elle n’existe à mon sens que pour justifier le salaire de Delphine Wespiser, et vu sa prestation, je ne pense pas que ce soit un argument suffisant. La Cage ralentit le rythme, occupe du temps d’émission et je préférerais une quête des clés plus fluide, avec plus d’épreuves, et au montage moins charcuté. 
  
• Un scénario souvent très similaire de semaine en semaine, qui accentue l’effet de lassitude de cette partie.
  

• Cette séquence nous donne l’occasion de bien mettre en avant les prisons (et les prisonniers) du Fort, ce qui est un point appréciable et redonne un peu d’enjeu à cet aspect du jeu.
  
• La présence d’un personnage entièrement dédié à la libération des prisonniers rappelle l’époque Ratman : pourquoi pas, même si Blanche remplissait déjà cette fonction.
  

• Trop de Willy tue le Willy
  
• L’épreuve du Willymaton ne m’a fait sourire qu’à sa première diffusion. Je l’ai trouvée lassante et pénible les dix émissions suivantes. Encore une séquence de jeu jetable qui ne durera qu’une ou deux saisons, comme la prod nous en sert chaque année.
  

• Presque rien à signaler, je trouve que cette partie n’évolue plus depuis trop longtemps.
  

• Comme la Cage, le Jugement me lasse et j’aimerais bien voir une nouvelle partie intermédiaire le remplacer.
  

• Comme pour les épreuves, rien de trop « wtf » à signaler dans les Aventures, c’est toujours ça de pris.
  
• L’Aventure des Cachots abandonnés est boyardesque et convaincante, bien qu’un peu trop longue pour le chrono proposé.
  

• … Mais le Bingossbo est tellement insupportable qu’il arrive à concentrer tout le « wtf » à lui tout seul
  
• La séquence « Salle des Aventures », bien qu’elle ne se déroule plus dans une salle dédiée, ralentit le rythme assez inutilement.
  
• L’impression de trucage se fait, pour le coup, particulièrement ressentir dans cette partie : le cas d’école de Carinne Teyssandier dans la Maison de poupées en est un parfait exemple.
  

• Mêmes remarques que pour le Willymaton
  

• Je n’en peux plus de la Cuisine de Willy : cette épreuve ne m’a jamais semblé à sa place sur le Fort, ce n’est pas aujourd’hui que cela va changer.
  
• Les running gags liés à cette séquence sont lourds et durs à supporter, surtout si tard dans le jeu quand la longueur de l’émission se fait déjà particulièrement ressentir.
  
• Deux séquences de libération de prisonniers dans la même émission, ça fait beaucoup et au final c’est contre-productif, car cela donne l’impression qu’être prisonnier n’est pas un enjeu si grave que ça. Je crois que j’aimerais le retour à une formule où un prisonnier qui n’a pas été libéré lors de la partie dédiée, reste en prison jusqu’à la fin du jeu (c’est-à-dire qu’il est libéré après la Salle du Trésor, et pas avant).
  

• J’ai toujours aimé le conseil de 2016, et la version actuelle est toujours un vrai souffle boyardesque fort agréable
  
• Je le répète : le Père Fouras excelle dans son rôle durant cette séquence, même si cette année, il m’a semblé que ses phrases « soufflées par l’oreillette » prenaient une place de plus en plus importante. Attention à ne pas tomber dans le même excès que pour Blanche et Rouge !
  

• Pas convaincu par le duel des sushis
  
• Trois duels seulement au lieu de quatre auparavant.
  
• J’apprécie particulièrement la musique du Conseil version 2016, et n’apprécie donc pas quand celle-ci est remplacée par une autre musique, beaucoup moins inspirée, lors de certains duels.
  

• Enfin une défaite lors de cette séquence cette année, ce qui nous rappelle qu’il y a bien un enjeu sur cette partie, il était temps !
  

• Des mots-codes cadeaux dans 99 % des cas, et une séquence qui semble sans vrai enjeu
  
• Une musique de réflexion du mot-code charcutée par les équipes de montage
  
• Un Olivier absolument fantôme pendant cette séquence
  
• Dans les émissions sans after, la réaction des candidats se fait AVANT l’ouverture des indices, ce qui est selon moi, pas à la bonne place
  
• Toujours pas fan de l’arche en métal avec la tête de tigre qui surplombent la grille de la SdT, je les trouve très cheap et mal intégrées au décor.
  

• On sent que la production a voulu corriger certains aspects qui alourdissaient le rythme de l’émission : fusion de certaines séquences (pré-générique + présentation des candidats), réduction des cinématiques dans certaines émissions…
  

• Un esprit global de l’émission qui n’est pas boyardesque
  
• Toujours trop de « trucages » par la production qui rendent le scénario très prévisible voire injuste d’une équipe à l’autre
  
• Un montage inégal, qui laisse la place à 5 minutes de monologue de Cyril Gossbo mais seulement 1 ou 2 minutes d’épreuves. 
  
• Trop d’effets de montage inutiles : effet « vertige », ralentis, etc.
  
• Les plans de coupe avec la « faune locale » : il y en a beaucoup trop, et ils sont très mal intégrés
  
• Un univers musical moins boyardesque que jamais, l'année où Paul Koulak nous quitte... Dans un monde idéal, j'aimerais qu'on supprime tous les nouveaux thèmes et qu'on réarrange tous les thèmes historiques de Paul Koulak, avec un seul nouveau compositeur qui s'en inspirerait.
  

• Les afters nous permettent de voir qu’Olivier est toujours bel et bien vivant et n’a pas été remplacé par un hologramme. C’est bien le seul moment où il est présent, car pour le reste…
  

• Là encore, je vais copier-coller mon message en réaction à une émission de la saison : ce n’est pas (que) Olivier en soi qui me pose problème — et encore que, bien que je l’apprécie en règle générale et que je le trouve amusant et spontané en interview ou dans les jeux qu’il présente, je me pose légitimement la question de sa lassitude ou non vis-à-vis de Fort Boyard, vu comme il semble très détaché dans sa manière de présenter. Mais pour lui laisser le bénéfice du doute, je dirais que c’est le rôle de l’animateur au sens large qui ne va pas dans l’émission. Un Olivier absolument robotique dans la Salle du Trésor, y compris dans la fameuse émission de Dave qui comportait une défaite, là où à une époque, les co-animatrices vivaient le stress au même titre que l’équipe, les conseillaient (parfois même un peu trop) sur les sacrifices, et contribuaient à l’empathie envers l’équipe qui était en train de perdre. Ici, Olivier se contente globalement de rester dans son coin et d’attendre qu’on lui souffle dans l’oreillette de sonner sa fameuse clochette. Autre exemple frappant : la fameuse Maison de Poupées avec Carinne Teyssandier. La candidate ne comprend pas ce qu’elle doit faire, PERSONNE ne lui explique y compris l’animateur, la clepsydre s’écoule et PERSONNE ne rappelle à l’équipe (voire même au téléspectateur) qu’elle risque un prisonnier sur cette séquence (alors qu’historiquement les Aventures se jouaient sans clepsydre). C’est un prisonnier absolument forcé par l’oreillette, qui découle d’une logique indéfendable selon laquelle les candidats doivent se débrouiller par eux-mêmes. Mais à ce compte-là autant se séparer complètement de l’animateur ! On n’imaginerait pas un jeu de culture générale où le candidat devrait deviner la question par lui-même, ou un Koh Lanta dans lequel les candidats n’auraient pas les explications des épreuves avant de les jouer. C’est ridicule et c’était bien à ça que servait la co-animatrice à l’époque. Olivier est absolument INUTILE dans la formule actuelle du jeu et je pèse mes mots, le Père Fouras pourrait tout aussi bien gérer le jeu par lui-même et on ne verrait aucune différence. Un changement dans la manière d’animer le jeu est selon moi urgent.
  

maximax, le 20 juin 2021, a écrit:Par contre, j'ai peur qu'ils s'arrangent toujours pour qu'il manque des clés (parce que sinon pas de jugement) ET qu'ils aient au moins un prisonnier dans les épreuves (parce que sinon pas de Willymaton et pas la cinématique juste avant) ET qu'ils aient au moins un prisonnier à l'issue des aventures (parce que sinon pas de restaurant). On avait déjà des trucages grossiers par le passé, j'ai peur qu'on en ait encore plus avec tout ça... Et j'ai peur aussi que la production choisisse les candidats à envoyer en prison selon leur intérêt à les voir faire le Willymaton et/ou le restaurant.

• l’apparition des Cachots abandonnés, du Téléphérisque, du Métro, du BEEF, et du Bing’ossbo.  
  

• les cinématiques. Je n’ai rien contre en principe, mais là elles prennent bien trop de temps, alors qu’elles ne sont pas toutes géniales. J’ai un coup de foudre pour celle du Conseil, mais le reste est plutôt fourre-tout. Donc soit on en fait des vraiment bien, soit on les supprime. 
  
• le maintien des épreuves cruelles envers les animaux (Spa, Train fantôme, Cabine abandonnée) 
  
• la réduction du nombre de duels au Conseil à 3. 
  
• des déguisements de Passe-Muraille un peu trop présents. Sur 10 épreuves, 5 ça devrait suffire. Là, il y en a au moins 8. 
  
• un concept qui, encore et toujours, s’éloigne du jeu d’aventure…
  

Rat Fou a écrit:des déguisements de Passe-Muraille un peu trop présents. Sur 10 épreuves, 5 ça devrait suffire. Là, il y en a au moins 8.

Quête des clés et épreuves

Cage

Willymaton et Jugement

Quête des indices et aventures

Conseil

Salle du trésor

Toujours plus Fort

Animation

Personnages

Réalisation

Casting

Diffusion/Promotion

Top 5 des points à corriger pour 2022